L’essor du commerce électronique mondial : ce qu’il faut savoir sur les retours transfrontaliers

L’essor du commerce électronique mondial : ce qu’il faut savoir sur les retours transfrontaliers

Si la révolution numérique a donné un coup de pouce au commerce mondial en éliminant les frontières physiques de la vente au particulier, elle a aussi sans doute créé de nouveaux challenges liés à la logistique de la chaîne d’approvisionnement et les réglementations douanières. Alors que les commerçants peuvent être optimistes quant à la croissance des opportunités du commerce électronique, leurs chaînes d’approvisionnement comprennent maintenant un processus logistique de retour pour gérer les retours du consommateur au commerçant, ce qui signifie bien souvent des coûts logistiques accrus à chaque passage de frontières.

Le commerce électronique mondial connaît une croissance rapide, surtout depuis la pandémie de COVID-19. De plus en plus de consommateurs se sont habitués à acheter en ligne et en utilisant leur smartphone. Le commerce électronique représente déjà environ 20 % des ventes au détail et devrait dépasser 21 % en 2024 (source : Shopify).

La Chine représente plus de 50 % du marché mondial du commerce électronique, suivie des États-Unis et du Royaume-Uni.

Le traitement des commandes et leur distribution sont rendus plus complexes lors de l’exportation à l’international. À mesure que le commerce électronique mondial se développe, la demande de professionnels capables de comprendre les réglementations douanières et la conformité augmente également.

Un gros casse-tête : gérer les retours transfrontaliers.

Selon Statistica, les consommateurs américains ont rapporté à eux seuls 817 milliards de dollars de marchandises l’an dernier, dont 16 % provenaient d’achats en ligne. Aussi, de nombreux consommateurs achètent des produits en ligne lorsque la politique de retour est simple et gratuite. Il est impératif pour les commerçants de se préparer à ce phénomène afin d’en maîtriser au maximum les coûts.

Le taux de retour pour le commerce électronique se situe, en moyenne, entre 20 à 30 %, car les consommateurs ne peuvent pas voir ou essayer des produits en ligne avant de les acheter. La plupart des retours concernent les vêtements, chaussures et accessoires.

Aux Etats-Unis, selon la National Retail Federation, pour chaque milliard de dollars de ventes, le détaillant moyen reçoit 165 millions de dollars en retours de marchandises.

Ces coûts peuvent être très pénalisants pour un commerçant.

Et ce n’est pas tout : lorsque les articles sont retournés, les vendeurs paient souvent des droits de douane deux fois. C’est certainement le cas au Royaume-Uni et dans l’Union européenne, où les droits de douane sont respectivement réglementés par HMRC et la Commission européenne. Ainsi, les droits de douane sont calculés en fonction de la valeur du produit et de la catégorie dans laquelle il se trouve, par exemple au Royaume-Uni où les marchandises au détail tombent sous un taux d’environ 12%.

Imaginez l’impact des centaines, des milliers voire des millions de retours chaque année qui sont soumis au double paiement des droits.

Comment les vendeurs à l’internationaux peuvent-ils réussir à contenir les coûts des retours transfrontaliers?

Il ne fait aucun doute que le commerce électronique mondial est une stratégie gagnante pour la plupart des commerçants, et bien que les sujets douaniers puissent être intimidants, cela ne devrait pas être une contrainte pour une entreprise en croissance.

Selon Reuters, 94% des professionnels en Supply Chain sont confrontés à des retards administratifs liés à l’e-commerce international. C’est dû notamment à la spécificité de chaque pays en matière de réglementation douanière.

Les entreprises savent-elles qu’elles peuvent réclamer des droits payés sur les articles retournés du Royaume-Uni et de l’UE?

De nombreux vendeurs peuvent bénéficier d’une importante réduction de coûts logistiques en réclamant le remboursement de certains droits de douane payés. Le processus est complexe et varie par pays. C’est pourquoi les e-commerçants devraient envisager d’externaliser cette partie du processus de logistique retour à des professionnels qualifiés et experts qui peuvent travailler directement avec les autorités fiscales et douanières.

Des experts du commerce et de la logistique travaillent directement avec les autorités pour soumettre des demandes de remboursement et transformer ainsi les retours en les retours exemptés de droits et peuvent les faire traiter plus précisément et plus rapidement que les commerçants eux-mêmes. Les processus de demande de remboursement sont spécifiques et ne laissent que peu de temps pour déposer ces demandes.

Votre entreprise réalise t’elle plusieurs milliers ou millions de dollars de commerce électronique au Royaume-Uni ou dans l’UE? Selon les données du marché, environ un quart de ces achats sont retournés, donc votre opportunité de remboursement des droits se chiffre aussi en milliers, voire millions de dollars par an.

Trade Duty Refund: votre partenaire “retour duty-free”

[Trade Duty Refund] (https://fr.tradedutyrefund.com) aide les entreprises internationales qui vendent au Royaume-Uni ou dans l’UE à réclamer des droits import payés sur les articles retournés. En utilisant une technologie basée sur l’IA, nos consultants experts du commerce et de la logistique travaillent avec les commerçants pour déposer des réclamations à partir d’une simple liste d’articles retournés et réclamer rapidement l’argent dû.

Si le commerce électronique transfrontalier occupe une grande place dans votre entreprise et que votre taux de retour est élevé, prenons rendez-vous dès maintenant et étudions ensemble comment récupérer efficacement les droits de douane. [Planifiez une première discussion gratuite et sans engagement] (https://zcal.co/i/ipvlgNrr) avec TDR pour obtenir une estimation de ce que vous pouvez réclamer cette année et discuter avec un expert de ce à quoi vous pouvez vous attendre en termes de commerce et de réglementation douanière cette année au Royaume-Uni et en Europe.